Noticias que son de interés personal del 11.01.2016
Les Képis blancs de la Légion étrangère, lors du défilé du 14 juillet 2014.
Aucun doute là-dessus. Si l'on en croit l'ouvrage d'Etienne de Montety Des hommes irréguliers sur le destin hors du commun de treize anciens légionnaires. Aujourd'hui disponible en poche.
Voyou, violoniste, moine, aquarelliste: la Légion étrangère mène à tout, à condition d'en sortir. La preuve par les destins de l'écrivain Blaise Cendrars, du cinéaste Frédéric Rossif, du jazzman Cole Porter, du peintre Nicolas de Staël, du joaillier Fred. Mais, à côté des ex-Képis blancs devenus célèbres, il y a la foule des anonymes.
Cette enquête offre une plongée dans le monde de la Légion étrangère d'hier et aujourd'hui. Une institution où se présentent des milliers de jeunes venus du monde entier, séduits par sa légende et sa réputation militaire, et désireux de servir sous le célèbre képi blanc. Pour eux, la Légion a été parfois un refuge, toujours une école et finalement une chance. Elle leur a permis de canaliser une énergie pour la mettre au service de leur accomplissement professionnel et humain. A une époque qui parle d' " ascenseur social en panne ", d' " intégration difficile ", autrement dit de fatalité, le destin de ces hommes, souvent venus d'ailleurs, montre que les jeux ne sont jamais faits.
Le journaliste Etienne de Montety dresse le portrait de 13 d'entre eux. 13 hommes hors normes, dont la vie est un roman d'aventures. Et ce n'est pas un cliché.
No hay duda al respecto. Si uno cree en el trabajo de Etienne de Montety sobre el destino de trece ex legionarios. Ahora disponible en edición de bolsillo.
Gamberro, violinista, monje, acuarelista: la Legión Extranjera lleva a todos, siempre y cuando salgan. La demostración por el destino del escritor Blaise Cendrars, el cineasta Frédéric Rossif, del músico de jazz Cole Porter, el pintor Nicolas de Stael, el joyero Fred Mais, junto a los ya famosos Kepis blancos, está la multitud anónima.
El periodista Etienne Montety retrata a 13 de ellos. 13 hombres descomunales cuya vida es una novela de aventuras. Y esto no es un cliché.
Des hommes irréguliers, par Etienne de Montety. Perrin, 272p., 8€.
Des militants d'extrême droite manifestent à Cologne face aux forces de l'ordre.
Le mouvement islamophobe allemand Pegida organisait une manifestation ce samedi à Cologne. Des heurts ont eu lieu avec la police dans l'après-midi. L'affaire des "agressions sexuelles de masse" se focalise sur les réfugiés, malgré les zones d'ombre de l'enquête.
Les réfugiés sont pointés du doigt. Théâtre au Nouvel an d'une vague d'agressions qui scandalise l'Allemagne, Cologne voit défiler ce samedi une manifestation du mouvement islamophobe Pegida, nouveau signe de la focalisation de l'affaire sur les réfugiés: 22 d'entre eux sont en effet suspectés d'avoir participé aux agressions.
El movimiento alemán patriotas europeos contra la islamización de occidente organizó una manifestación este sábado en Colonia. Los enfrentamientos con la policía tuvieron lugar en la tarde. El caso de "agresiones sexuales en masa" se centra en los refugiados, a pesar de las sombras de la investigación.
Los refugiados son los acusados. Teatro en año nuevo una ola de atentados que conmocionaron Alemania, Colonia el sábado desplazamiento de una manifestación del movimiento patriotas europeos contra la islamización de occidente, nuevo signo de la atención del caso sobre los refugiados: 22 de ellos son de hecho sospechosos de haber participado en los ataques.
Canons à eau et gaz lacrymogènes
Bien loin de leur fief de Dresde, les "Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident" ont appelé à un rassemblement à partir de 14h devant la gare de la cité rhénane, sous le mot d'ordre "Pegida protège". 1700 personnes se sont rassemblées, d'après la police alors que la branche régionale de Pegida a revendiqué sur sa page Facebook 3000 participants. Près de la moitié des manifestants étaient des hooligans prêts à en découdre, a estimé la police.
Des militants d'extrême droite manifestent à Cologne face aux forces de l'ordre.
Le mouvement islamophobe allemand Pegida organisait une manifestation ce samedi à Cologne. Des heurts ont eu lieu avec la police dans l'après-midi. L'affaire des "agressions sexuelles de masse" se focalise sur les réfugiés, malgré les zones d'ombre de l'enquête.
Les réfugiés sont pointés du doigt. Théâtre au Nouvel an d'une vague d'agressions qui scandalise l'Allemagne, Cologne voit défiler ce samedi une manifestation du mouvement islamophobe Pegida, nouveau signe de la focalisation de l'affaire sur les réfugiés: 22 d'entre eux sont en effet suspectés d'avoir participé aux agressions.
Canons à eau et gaz lacrymogènes
Bien loin de leur fief de Dresde, les "Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident" ont appelé à un rassemblement à partir de 14h devant la gare de la cité rhénane, sous le mot d'ordre "Pegida protège". 1700 personnes se sont rassemblées, d'après la police alors que la branche régionale de Pegida a revendiqué sur sa page Facebook 3000 participants. Près de la moitié des manifestants étaient des hooligans prêts à en découdre, a estimé la police.
Vers 16h30, des heurts ont d'ailleurs opposé ces militants à la police, d'après l'AFP. Dans une atmosphère très tendue, avec quelques affrontements isolés et des jets de bouteilles et de pétards sur la police, cette dernière, massivement présente, a d'abord demandé aux manifestants de quitter les abords de la cathédrale où avaient eu lieu les agressions sexuelles. Elle a finalement fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogène pour disperser le cortège qui se dirigeait vers le sud.
"RapeFugees" et drapeaux de l'Empire germanique
Sur sa page Facebook, le mouvement créé à l'automne 2014 assure ne pas "instrumentaliser" les vols et violences sexuelles de la Saint-Sylvestre, qui ont déjà fait l'objet d'environ 200 plaintes selon le Spiegel. Mais son fondateur Lutz Bachmann posait tout sourire cette semaine sur son compte Twitter, affublé d'un tee-shirt proclamant "Rapefugees not welcome", détournant le message de bienvenue aux migrants pour les accuser d'être des violeurs (viol se dit "rape" en anglais).
https://www.facebook.com/pegidaevdresden/?fref=ts
https://www.facebook.com/614774168634601/videos/702144139897603/?theater
https://www.facebook.com/614774168634601/videos/690753984369952/?theater
https://pgida.de/wp-content/uploads/2015/12/hymne-pegida.mp3
Parmi les photos relayées par la revue Focus, on note aussi la présence de drapeaux de guerre de l'ancien Empire germanique (Kriegsflagge, 1867-1871).
Detalles del masivo asalto: Publicado por La Nación. Buenos Aires.
Más demostraciones
Desarrollado por LLIKA
Comentarios recientes